Les Guerrières du Futur - Sisterhood
En 2021, des femmes ont été réduites en esclavage par des hommes, leur seul espoir de liberté étant entre les mains d'une bande nomade de jeunes guerrières. Les jeunes guerrières Alee et Vera font appel à Marya et à son faucon pour les aider.
Dans une société détruite par le nucléaire, une jeune fille dotée de pouvoirs psychiques joint les rangs d'un groupe de femmes qui lutte contre le pouvoir mâle.
Dans ce conte loufoque sur l'autonomisation des femmes post-holocauste du réalisateur Cirio H. Santiago ("Equalizer 2000"), c'est l'année future 2021. Dans les déserts de la Terre, les hommes détiennent tout le pouvoir et ont réduit en esclavage de nombreuses femmes. C'est aux femmes nomades connues sous le nom de "The Sisterhood" de restaurer un certain sens de l'égalité. Deux de ces sœurs que nous rencontrons sont Alee (Rebecca Holden) et Vera (Barbara Patrick, l'épouse de Robert P.). Ils prennent sous leur aile une adolescente nommée Marya (Lynn-Holly Johnson de "Ice Castles" et "For Your Eyes Only"), dont le petit frère (Tom McNeeley) a été tué par l'un des antagonistes masculins, un guerrier nommé Mikal (Chuck Wagner, "America 3000").
"The Sisterhood" est un bon divertissement léger pour les amateurs de science-fiction qui privilégient le côté ringard et idiot du cinéma post-holocauste. Il gagne des points pour dépeindre ses femmes comme fortes et indépendantes, mais pas invulnérables. Cela donne également à Alee et Vera des pouvoirs spéciaux - Vera est télékinésique et Alee a des capacités de guérison. Nos trois héroïnes suscitent un intérêt d'enracinement suffisant, et tous nos méchants cochons grognants sont convenablement odieux. Mikal est une exception, se révélant être plus qu'unidimensionnel.
Un bon usage est fait des emplacements. Les décors, les costumes et les véhicules semblent assez décents pour le budget minimal de "The Sisterhood". La partition musicale de Jun Latonio est variable : parfois c'est passable, et d'autres fois c'est juste *horrible*. Tout est agréablement ringard, avec un peu de gore (il y a quelques gros plans de blessures à l'épée) et pas mal d'action. Les performances ne sont en fait pas trop mauvaises - Robert Dryer, le principal méchant de "Savage Streets", dans le rôle de l'effrayant Lord Barak, Anthony East dans le rôle de Lord Jak. Le casting féminin est très attrayant et il y a des doses adéquates de chair nue partout.
Regarder celui-ci est un moyen assez inoffensif de tuer un peu plus d'une heure et demie.
Anecdotes
Lynn-Holly Johnson a accidentellement coupé l'index du cascadeur Greg Rocero lors d'une des scènes de combat avec une épée. Rocero est allé directement à l'hôpital et Johnson se serait senti dévasté pour le reste de la photo.
Gaffes
Soi-disant se déroulant en 2021, l'ancienne guerre est pourtant un mythe lointain.
Réalisateur: Cirio H. Santiago
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