Gina 1975

👉Gina👈
Gina est strip-teaseuse dans un club local populaire. Tout le monde l'aime et la veut. Une nuit, un gang redouté entre dans sa chambre de motel et la viole violemment. Peu de temps après, elle fait appel aux services de criminels pour l'aider à se venger de ceux qui l'ont attaquée.

Une belle strip-teaseuse engage des criminels de renom pour se venger de ceux qui l'ont violée dans sa chambre de motel.

Un film à la fois humain et brutal
Après avoir été envoyée dans le Québec rural pour se produire dans un motel miteux, la danseuse exotique Gina (Céline Lomez de The Silent Partner) noue une amitié avec un groupe de réalisateurs de documentaires en visite et découvre qu'un gang lubrique de Ski-Doo se cache sur un bateau abandonné. Conscients de la présence l'un de l'autre, Gina et le gang développent une relation antagoniste qui finit par mener à une horrible agression. Mais ce que ces déviants des neiges masqués ne réalisent pas, c'est que Gina travaille pour certains des criminels les plus dangereux de Montréal, et qu'ils sont sur le point de se venger.

Trois décennies avant de remporter l'Oscar du meilleur film en langue étrangère pour Les Invasions barbares, Denys Arcand a commencé sa carrière de cinéaste de fiction avec une trilogie informelle (Dirty Money, Réjeanne Padovani et Gina) qui demeure le point culminant du cinéma policier canadien. Fusionnant de manière improbable la politique du travail avec un récit d'exploitation explosif, Gina a une conviction et une assurance qui résistent à une catégorisation facile. À la fois film de repaire glacial et saga de vengeance vicieuse, il s'agit d'une centrale électrique unique en son genre qui se transforme en un point culminant horrible et la plus grande poursuite en motoneige de l'histoire du cinéma.

 Un "chiens de paille" canadien
Alors que Gina est une entrée solide dans le canon des films des années 70 sur les filles qui se vengent brutalement des hommes qui les violent, elle est aussi typiquement canadienne (ou, plus précisément, québécoise). Tous les éléments classiques sont là - le rythme lent qui mène au dernier acte explosif, la musique du titre de la guitare électrique, la star se déshabillant, le viol collectif, la poursuite en voiture musclée, la finale sanglante... sauf dans ce cas le décor est une ville du Québec en plein hiver, le gang conduit des motoneiges au lieu de motos - et il y a une équipe de tournage qui tente de faire un documentaire sur l'usine de textile exploitante locale. Gina a une grande sensation socio-réaliste, ET un Plymouth 383 Roadrunner violet rugissant. Oui!
RéalisateurDenys Arcand
DvD RiP FRQ
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