The Beast of Yucca Flats
Après avoir été exposé à une explosion atomique, un scientifique est transformé en un monstre meurtrier et se déchaîne dans le désert.
Un scientifique russe qui fait défection est transformé par un test atomique en un monstre imposant (Tor Johnson, bien sûr). Pas grand-chose d'autre, sauf que certaines personnes sont tuées, que des garçons se perdent et qu'un lapin renifle le cadavre de Tor.
Utile comme appareil de méditation
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Il y a quelque chose de très zen dans "Beast of Yucca Flats". Les vastes vues persistantes du désert du sud-ouest. L'étrange dialogue déconnecté qui semble complètement désincarné. Le haïku comme narration.
C'est dans l'esprit de la narration de Coleman Francis que je donne maintenant des impressions sur le film : A clock ticks. Une belle fille. Un tueur caché. L'horloge s'arrête. Il n'y a pas de connexion.
Le vaste désert. Un avion atterrit. Joseph Javorski, scientifique renommé. Joseph Javorski, qui a l'air de pouvoir manger des cochons entiers, a le destin du monde dans sa mallette. Les meilleurs du Kremlin en font une cible. Les roues du progrès tournent en rond.
Une poursuite. Balles. Meurtre. Drapeau sur la Lune... comment est-il arrivé là ? Une bombe. Plus de progrès. Appuyez sur un bouton, quelque chose se passe. Un scientifique devient une bête.
Figures dans un paysage. Qui sait combien de temps nous avons vraiment? Joe et Jim, patrouilleur du désert. Ils gardent la liberté et la démocratie 24h/24 et 7j/7 dans ce paysage. Une bête est en liberté. Joseph Javorski, autrefois un scientifique renommé, maintenant... plus rien.
Il n'y a pas de progrès dans le désert. Pourtant ses effets sont partout. Le progrès de l'homme. Étanchez la soif du tueur. Une famille s'arrête pour se reposer. La bête apparaît. Une terrible erreur. Des policiers avec des fusils rapides et des esprits de porcs. Un innocent meurt. On s'en fout? Deux garçons donnent des boissons gazeuses à des cochons assoiffés. C'est le progrès, tu sais.
Affrontement. Un combat qui n'en est pas un. Un pistolet sans balles tire. Joseph Javorski, scientifique réputé, devient la nourriture des lapins. Les roues du progrès tournent en rond. Fin.
L'esprit du spectateur devient rien. Qu'avons-nous vu ? Qui croit aux soucoupes volantes ? Coleman François. Le nom s'attarde. Le cri solitaire des vents du désert. J'aime les films.
Anecdotes
Selon Anthony Cardoza , le lapin à la fin n'était pas scénarisé, un bébé lièvre sauvage errait dans le plan.
Gaffes
Lorsque les agents du KGB poursuivent Javorski, la scène passe à plusieurs reprises entre le jour et la nuit.
Versions alternatives
Certaines versions éliminent les seins nus tournés au début du film.
Réalisateur: Coleman Francis
Merci pour la version colorisée!
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